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2015.
- Roman « Labijoconde », le roman des amours de Salai, le disciple et amant de Léonard de Vinci qui s'avère être le modèle de "La Joconde". Sur des faits historiques réels et un récit à l'imagination débordante, Kävin'Ka dépeint ainsi l'homme et le transgenre que fut vraiment Mona Lisa ne cachant rien de la vie et des mœurs du génie de la Renaissance. Une insolente réalité fiction hors des conventions, 
2013.

- Roman « Hallucinojaime », nouvelle édition des « Diamants » dont le tirage initial est épuisé. Aux larmes des rêves, le récit de ce road-movie imaginaire est encore plus délirant sur l’autre face de lui-même. Une insolite parabole quasi phénoméno(i)logique en apnée ostentatoire sur le réel et l’irréel. Un transfert fantasmatique qui flirte au thriller avec des mots se moquant des faits d’actualités. Une poésie moderne.

 2012.

- Chanson « c-la fin du monde». Faisant référence à l’apocalypse imaginaire annoncé pour le 21 décembre 2012 révélé à la suite des prédictions Mayas, Kävin’Ka compose  « c-la fin du monde » dont la longueur dure exactement 21,12 minutes. Un mix réalisé en direct qui s’est curieusement arrêté à ce chiffre sans aucun calcul, ni réglage au préalable.
 

- L'émission grand public «Tellement Vrai » de NRJ12 consacre un sujet sur Kävin’Ka dévoilant sa vie privée l'accompagnant en shooting d'une séance photo et studio lors de l'enregistrement d'une version rock de « Ma poupée ».


2011.

- Participe à de nombreux petits rôles et figurations au cinéma avec les plus grands metteurs en scène dont Luc Besson et Martin Scorcese. Un rôle le marque particulièrement psychologiquement dans le film « Elle s’appelait Sarah » de Gilles Paquet-Brenner, jouant l'un des gendarmes français qui ont collaboré avec zèle à la déportation des Juifs lors de la rafle du Vel d’Hiv. Un tournage de cinq jours éprouvant dans le camp de transit reconstitué avec les baraquements en bois comme en 1942. 

2010.

- Interprète le rôle de Ken, le fiancé de la poupée Barbie, dans la performance « Barbie Bulle » de Gilles Ouaki en direct sur le Lac d’Enghien qui pendant 24 heures a enfermé dans une bulle transparente la célèbre poupée mannequin pour la voir vivre. Barbie est jouée par Angie Be, candidate de l’émission «Secret Story». La performance se termine par l’assassinat de Barbie à la suite d’une dispute conjugale mouvementée.



2008.

- Livre « Dans l’ombre de Barbara » aux éditions du Rocher. Biographie originale racontée façon Sacha Guitry sans respect du fil du temps, celui du poids des pages des années, privilégiant plutôt l’inspiration instinctive avec l’aide d’une fan de la Dame en noir, Catherine Le Cossec. La narration et les révélations surprenantes, allant jusqu’à expliquer en aparté la véritable signification sexuelle du « Bateau ivre » de Rimbaud, rappellent l’alchimie du verbe pour mieux imposer un style.


2006.

- Roman « Les diamants du Louvre  » où dans une sorte de road-movie imaginaire, Kävin'Ka se met en scène et raconte comment il a volé les deux pierres Chopard de 11 millions d’euros à la Biennale des Antiquaires, en septembre 2004. Tout est faux, mais basé sur des faits réels. Tous ceux qui le lisent sont fascinés par la métempsycose virtuelle de ce polar mystique quasi elastosexy.

 

2005: Naissance de Kävin'Ka

 

Dans une autre vie, il fut chanteur sous le nom de Yves B. 


2004.

- Lauréat meilleure chanson électro pour « Grave de chez grave » au concours national « Voile d’Or »parrainé par la SACEM organisé auprès de 1000 radios indépendantes. Dans cette satire du comportement la voix suave s'entrechoque avec l'arrangement électro. Le titre traînait sur internet et a été repéré par une radio du Havre qui l’a programmé et défendu. A la remise des résultats au SIEL, le salon des discothèques à Paris, Kävin'Ka s'exhibe en crachant son trophée à Orlando, le frère de Dalida, son premier producteur.


2001.

- Premier album « Himself ». Le premier album français conçu d'emblée en DVD avec musique et images, c'est-à-dire douze chansons pour douze clips. Style électro-pop underground sur images psychés. Voix très phrasée, mélange de Gainsbourg et Daho. Invité sur RTL pour présenter l'album. La reprise d’Aznavour « Je t’aime » avec plan séquence sur slip est programmée au « Morning Live » de M6. « Himself » qui se lit aussi « Lui m’aime » est retiré de la vente pour cause d’images subliminales sexuelles que le mensuel « New-Look » dévoilera sur deux pages publiant les photos incriminées. « Himself » se décline ensuite en premier DVD single français, présenté sur TF1 aux « Coulisses de l’Economie » puis en premier album DVD+ (une face CD et une face DVD). 


1999.

- Premier single « Un peu plus un peu moins » sous le nom d'Yves B. en tant qu’artiste Universal, produit par Orlando, frère de Dalida. Cette chanson « au parfum de backroom d’Istambul » écrit Eriic Dahan de« Libération », fut composée en 1998 la nuit de la finale de la Coupe du Monde de foot aux côtés d’un supporter brésilien en larmes. Le titre monte jusqu’à la 54e place du Hit des Clubs. Pochette digne d’une performance d’Andy Warhol. Kävin’Ka est plongé nu dans une piscine remplie de peinture acrylique et photographié en position foetale. La maquilleuse d'Hélène Ségara mettra deux heures à le nettoyer au white spirit. Nombreux articles et louanges. Poster dans la presse jeune, deux pages dans « Voici ». Kävin'Ka ouvre le concert au Zénith de Yannick Noah pour les Enfants de la Terre. Fait la tournée des clubs allant du Queen au MCM Café mais aussi en province comme le Bar One à Toulouse avec Tonya du groupe Sister Queen. En pleine ascension, agacé par les mesquineries des parasites gravissant autour d’Orlando et suite à un profond désaccord artistique, Kävin'Ka claque la porte lors d’un diner allant jusqu'à vouloir casser la BMW de son producteur sur le périphérique.
 

Mais aussi journaliste....


1998/1990. 

- Reporter, critique musical et responsable de la rubrique rock du quotidien « Le Parisien »  apportant un ton décalé peu habituel, rendant compte des courants musicaux importants des années 90, comme le grunge ou la techno avec le début des rave-partys. Fait le tour du monde et rencontre les plus grandes stars que ce soit Prince à Minneapolis, Tina Turner à New-York, James Brown à Atlanta, Johnny Clegg à Johannesburg. Kävin'Ka invente même le mot « boys band », un soir au carré VIP du Queen, alors que Johnny Hallyday vient de soulever son kilt pour regarder s’il porte un caleçon.
 

1990/1986.

- Journaliste société et média chargé du dossier privatisation de TF1 et création de M6. Kavin'Ka débute sa carrière par la rubrique « chiens écrasés », comme Orson Welles. De quelques lignes glanées sur une main courante dans les commissariats de banlieue où à la Préfecture de Paris, il en fait un roman. Diplômé de l’école Supérieure de journalisme de Paris.

1965 - Naissance. Enfance très BCBG à Versailles, en conflit permanent sur ses origines. Mère issue d’une famille aristocrate dont la lignée ferait pâlir le Bottin Mondain. Père, maître de recherches au CNRS, né en Bolivie avec l’aventure dans le sang. Son grand père paternel, juif d’origine Roumaine, fit fortune en Bolivie où il exploitait des mines de cuivre. 


 

kavinka@hotmail.fr


"Hallucinojaime" ONAN éditions

"Dans l'ombre de Barbara", Ed. Du Rocher

"Les diamants du Louvre" ONAN éditions

 

 

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2015
- Roman « Labijoconde », le roman des amours de Salai, le disciple et amant de Léonard de Vinci qui s'avère être le modèle de "La Joconde". Sur des faits historiques réels et un récit à l'imagination débordante, Kävin'Ka dépeint ainsi l'homme et le transgenre que fut vraiment Mona Lisa ne cachant rien de la vie et des mœurs du génie de la Renaissance. Une insolente réalité fiction hors des conventions, 
2013

- Roman « Hallucinojaime », nouvelle édition des « Diamants » dont le tirage initial est épuisé. Aux larmes des rêves, le récit de ce road-movie imaginaire est encore plus délirant sur l’autre face de lui-même. Une insolite parabole quasi phénoméno(i)logique en apnée ostentatoire sur le réel et l’irréel. Un transfert fantasmatique qui flirte au thriller avec des mots se moquant des faits d’actualités. Une poésie moderne.

 

 2012

- Chanson « c-la fin du monde». Faisant référence à l’apocalypse imaginaire annoncé pour le 21 décembre 2012 révélé à la suite des prédictions Mayas, Kävin’Ka compose  « c-la fin du monde » dont la longueur dure exactement 21,12 minutes. Un mix réalisé en direct qui s’est curieusement arrêté à ce chiffre sans aucun calcul, ni réglage au préalable.
 

 - L'émission grand public «Tellement Vrai » de NRJ12 consacre un sujet sur Kävin’Ka dévoilant sa vie privée l'accompagnant en shooting d'une séance photo et studio lors de l'enregistrement d'une version rock de « Ma poupée ».


2011.

- Participe à de nombreux petits rôles et figurations au cinéma avec les plus grands metteurs en scène dont Luc Besson et Martin Scorcese. Un rôle le marque particulièrement psychologiquement dans le film « Elle s’appelait Sarah » de Gilles Paquet-Brenner, jouant l'un des gendarmes français qui ont collaboré avec zèle à la déportation des Juifs lors de la rafle du Vel d’Hiv. Un tournage de cinq jours éprouvant dans le camp de transit reconstitué avec les baraquements en bois comme en 1942. 

2010.

- Interprète le rôle de Ken, le fiancé de la poupée Barbie, dans la performance « Barbie Bulle » de Gilles Ouaki en direct sur le Lac d’Enghien qui pendant 24 heures a enfermé dans une bulle transparente la célèbre poupée mannequin pour la voir vivre. Barbie est jouée par Angie Be, candidate de l’émission «Secret Story». La performance se termine par l’assassinat de Barbie à la suite d’une dispute conjugale mouvementée.



2008.

- Livre « Dans l’ombre de Barbara » aux éditions du Rocher. Biographie originale racontée façon Sacha Guitry sans respect du fil du temps, celui du poids des pages des années, privilégiant plutôt l’inspiration instinctive avec l’aide d’une fan de la Dame en noir, Catherine Le Cossec. La narration et les révélations surprenantes, allant jusqu’à expliquer en aparté la véritable signification sexuelle du « Bateau ivre » de Rimbaud, rappellent l’alchimie du verbe pour mieux imposer un style.


2006.

- Roman « Les diamants du Louvre  » où dans une sorte de road-movie imaginaire, Kävin'Ka se met en scène et raconte comment il a volé les deux pierres Chopard de 11 millions d’euros à la Biennale des Antiquaires, en septembre 2004. Tout est faux, mais basé sur des faits réels. Tous ceux qui le lisent sont fascinés par la métempsycose virtuelle de ce polar mystique quasi elastosexy.

 

2005: Naissance de Kävin'Ka

 

Dans une autre vie, il fut chanteur sous le nom de Yves B. 


2004.

- Lauréat meilleure chanson électro pour « Grave de chez grave » au concours national « Voile d’Or »parrainé par la SACEM organisé auprès de 1000 radios indépendantes. Dans cette satire du comportement la voix suave s'entrechoque avec l'arrangement électro. Le titre traînait sur internet et a été repéré par une radio du Havre qui l’a programmé et défendu. A la remise des résultats au SIEL, le salon des discothèques à Paris, Kävin'Ka s'exhibe en crachant son trophée à Orlando, le frère de Dalida, son premier producteur.


2001.

- Premier album « Himself ». Le premier album français conçu d'emblée en DVD avec musique et images, c'est-à-dire douze chansons pour douze clips. Style électro-pop underground sur images psychés. Voix très phrasée, mélange de Gainsbourg et Daho. Invité sur RTL pour présenter l'album. La reprise d’Aznavour « Je t’aime » avec plan séquence sur slip est programmée au « Morning Live » de M6. « Himself » qui se lit aussi « Lui m’aime » est retiré de la vente pour cause d’images subliminales sexuelles que le mensuel « New-Look » dévoilera sur deux pages publiant les photos incriminées. « Himself » se décline ensuite en premier DVD single français, présenté sur TF1 aux « Coulisses de l’Economie » puis en premier album DVD+ (une face CD et une face DVD). 


1999.

- Premier single « Un peu plus un peu moins » sous le nom d'Yves B. en tant qu’artiste Universal, produit par Orlando, frère de Dalida. Cette chanson « au parfum de backroom d’Istambul » écrit Eriic Dahan de« Libération », fut composée en 1998 la nuit de la finale de la Coupe du Monde de foot aux côtés d’un supporter brésilien en larmes. Le titre monte jusqu’à la 54e place du Hit des Clubs. Pochette digne d’une performance d’Andy Warhol. Kävin’Ka est plongé nu dans une piscine remplie de peinture acrylique et photographié en position foetale. La maquilleuse d'Hélène Ségara mettra deux heures à le nettoyer au white spirit. Nombreux articles et louanges. Poster dans la presse jeune, deux pages dans « Voici ». Kävin'Ka ouvre le concert au Zénith de Yannick Noah pour les Enfants de la Terre. Fait la tournée des clubs allant du Queen au MCM Café mais aussi en province comme le Bar One à Toulouse avec Tonya du groupe Sister Queen. En pleine ascension, agacé par les mesquineries des parasites gravissant autour d’Orlando et suite à un profond désaccord artistique, Kävin'Ka claque la porte lors d’un diner allant jusqu'à vouloir casser la BMW de son producteur sur le périphérique.
 

Mais aussi journaliste....


1998/1990. 

- Reporter, critique musical et responsable de la rubrique rock du quotidien « Le Parisien »  apportant un ton décalé peu habituel, rendant compte des courants musicaux importants des années 90, comme le grunge ou la techno avec le début des rave-partys. Fait le tour du monde et rencontre les plus grandes stars que ce soit Prince à Minneapolis, Tina Turner à New-York, James Brown à Atlanta, Johnny Clegg à Johannesburg. Kävin'Ka invente même le mot « boys band », un soir au carré VIP du Queen, alors que Johnny Hallyday vient de soulever son kilt pour regarder s’il porte un caleçon.
 

1990/1986.

- Journaliste société et média chargé du dossier privatisation de TF1 et création de M6. Kavin'Ka débute sa carrière par la rubrique « chiens écrasés », comme Orson Welles. De quelques lignes glanées sur une main courante dans les commissariats de banlieue où à la Préfecture de Paris, il en fait un roman. Diplômé de l’école Supérieure de journalisme de Paris.

1965 - Naissance. Enfance très BCBG à Versailles, en conflit permanent sur ses origines. Mère issue d’une famille aristocrate dont la lignée ferait pâlir le Bottin Mondain. Père, maître de recherches au CNRS, né en Bolivie avec l’aventure dans le sang. Son grand père paternel, juif d’origine Roumaine, fit fortune en Bolivie où il exploitait des mines de cuivre. 


 

kavinka@hotmail.fr


"Hallucinojaime" ONAN éditions

"Dans l'ombre de Barbara", Ed. Du Rocher

"Les diamants du Louvre" ONAN éditions

 

 

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