AFP, l'équipe dirigeante avec "Mistral gagnant"

L'accord de l'AFP avec la star-up Mistral AI permet d'utiliser les dépêches d'actualité de l'agence pour répondre aux requêtes des utilisateurs de son robot conversationnel. De fait, j'ai demandé à ce robot de l'intelligence artificielle de la start-up de me présenter l'équipe dirigeante de l'AFP, mais un petit bug m'a donné des trucs bizarres toute cette équipe a eu quelques petites transformations car un peu crétin, en journaliste du Parisien que je fus responsable de la rubrique pop-rock, j'ai mis "Mistral gagnant" à la  place de "Mistral AI" et le robot a mélangé les photos avec les paroles de la chanson de Renaud où il parle de "donner à bouffer à des pigeons idiots et des bombecs quand on était minot" ajoutant même "leur filer des coups de pieds pour des faux".

Les vieux sont alors devenus jeunes, les hommes des femmes, des barbus moches avec une teinture pour les embellir, du n'importe quoi cette intelligence artificielle.

Ainsi, Fabrice Fries, le PDG de l'AFP depuis 2019, qui a 65 ans et tout ridé, s'est retrouvé à 20 ans, on ne dira pas tel un jeune con comme lorsqu'il sortait de l'ENA, mais "Mistral gagnant" a estimé qu'il devait retourner à l'Ecole Nationale d'Administration pour ne pas devenir comme le dit si bien Pascal Praud, l'archétype des petits hommes gris qui détruisent la France pour les lobbys financiers. Fabrice Fries vit en Belgique avec sa famille, ce qui est normal pour le PDG de la première agence de presse française qui est née au lendemain de la seconde guerre mondiale et qui était, il n'y a pas si longtemps, la voix de la France.

Le directeur de l'information, Phil Chetwynd, de nationalité britannique et qui a été mis à la tête de l'info par Fabrice Fries, est lui carrément devenu une femme en présentatrice d'une télé-glouton, ou chroniqueuse chez Hanouna, toutefois il n'est pas si mal ainsi telle Jeanne d'Arc qui serait devenue anglaise et prendrait sa revanche en croisade pour imposer l'IA avec l'AFP afin que l'agence de presse française soit une entreprise financière juteuse, ce qui franchement n'est pas son rôle. Et quand la nouvelle pucelle britannique se met à parler "d'écosystème informationnel" ajoutant que pour ne pas générer de la désinformation il est important "de collaborer avec les entreprises technologique pour préserver un journalisme dans un paysage médiatique en pleine mutation", alors c'est certain avec elle le métier de journaliste est mort et comme le chante Renaud on n'aura plus que les roudoudous pour se consoler. 

C'est sur France 24 que Phil Chetwynd commentait le partenariat avec Mistral AI, l'entreprise français spécialisée dans l'intelligence artificielle générative qui existe depuis 2023 et a généré en 2024 près de six milliards d'Euros et dégénère la déontologie journalistique.

Le robot en "Mistral gagnant " a même fait bouger Phil Chetwynd (enfin !) à partir de sa photo prise sur le net la rebaptisant "Phila Chetwynda" , tout cela en un minute, et il parait qu'elle va bientôt chanter produite par Orlando le frère de Dalida, tout comme moi.

Cliquez sur le lien pour voir Phila Chetwynda

https://www.facebook.com/share/v/1A7ydcXbwb/ 

Décidemment l'intelligence artificielle et l'AFP donnent des trucs bizarres et où va-t-on d'autant qu'à la base les journalistes de l'AFP pour écrire leurs dépêches pillent déjà les livres comme ce fut le cas dans une dépêche promo sur le revival boys band (1) indigne d'une agence de presse sérieuse reprenant textuellement des extraits de mon nouveau récit "Boysbanderies", une saga vécue sur le phénomène des boys bands des années 90, sans même le préciser et encore moins que le récit est orienté sur le côté gay qui a toujours été occulté. Une censure inadmissible. Alors imaginez donc ce que peut faire une intelligence artificielle en lui donnant des paramètres de manipulation avec toutes les dérives qu'on connait actuellement sur la morale bien pensante de certains et leur dogmatisme pesant qui s'opposent à la diversité et la spécificité de l'être humain.

(1) "La génération boys band remet le son", par Jean-François Guyot dépêche du 18/03/2025

Fabrice Fries, président-directeur général de l'AFP qui normalement à 65 ans, Mistral gagnant a estimé qu'il devait retourner à l'école vu les bêtises de l'AFP avec l'IA.

Phil Chetwynd, directeur de l'information est devenu femme en Jeanne d'Arc de l'IA.

Aurélie Dognon, directrice des achats et de l'immobilier, est devenu un homme qui aurait pu jouer dans les Bronzés

Anne Calchéra, directrice financière, est maintenant la femme à barbe, idéal si elle veut se reconvertir chez Pinder

Christophe Walter Petit, directeur juridique, les chiffres c'est tellement barbant que Mistral gagnant lui a fait une barbe.

Eric Baradat, directeur adjoint de l'information, photo et doc, est redevenu tout jeune, c'est le plus craquant de la bande, aussi beau qu'Andrew des G-Squad

Grégoire Lemarchand, l'IA lui a fait une teinture, il avait des cheveux et une barbe tout gris, il est directeur adjoint de l'information pour la stratégie et directeur de la marque et de la communication.

Guillaume Meyer, directeur adjoint de l'information, vidéo et audio, est redevenu jeunot façon Julien Doré

Jean-Luc Bardet, directeur adjoint de l'information régional France, c'est sûr en femme il est plus séduisant

Philippe Onillon, directeur général, avec toutes les bêtises de l'IA, c'est sûr il a pris 20 ans de plus. Normalement il n'a pas de barbe.

Sophie Huet-Trupheme, devenue un mec branchouille, cela lui va si bien ma chère. Elle est directrice adjointe de l'information, chargée de l'intelligence artificielle et de l'innovation rédactionnelle, supervisant le fait que l'AFP est devenue la voix du n'importe quoi.

Et c'est à partir de ces photos que Mistral gagnant a buggé reprenant les paroles de Renaud "que si moi je suis barge, ce n'est que tes yeux"